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La terminologie et la langue de spécialité

la psychologie



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La terminologie et la langue de spécialité

1.1.Aspects généraux de la terminologie



La terminologie est une discipline complexe, qui connaȋt plusieurs définitions et formes, toutes essayant de mettre en lumière le même sens.

Par example, pour l'ISO , la terminologie est ˂˂l'étude scientifique des notions et des termes en usage dans les langues de spécialités˃˃.

Selon Eugen Wüster, qui a le mérite d'être déclaré le père fondateur de la terminologie moderne, cette discipline est responsable de la corelation indissoluble entre˂˂ les sciences des choses˃˃, c'est-à-dire entre les domaines techniques et scientifiques (la mathematique, la biologie, la musique) et des autres disciplines comme la linquistique, la grammaire, la logique, etc..

Wüster affirmait aussi que le réel de l'activité terminologique est la terminographie ou ˂˂la lexicographie terminologique˃˃. Quant à la terminographie , sa nature est variable selon que l'orientation fondamentale est plutôt lexicographique (ayant sur le prémier plan le mot ) ou plutôt terminologique (consacrée d'abord aux notions à titre principal).

En ce qui concerne la liaison entre la terminologie et l'aspect écrit de la langue, Teresa Cabré met en évidence quellesques dimensions diverses de cela:

  • La dimension cognitive
  • La dimension aménagiste
  • La dimension traductionelle

La dimension cognitive est surtout responsable de la réprésentation de conaissances non-linquistiques:

  • Définition
  • Note technique
  • Liens notionnels
  • Schèmas
  • Photos

Ces sont les élements qui font le passage armonieux de l'écrit au visuel.

La priorité de la deuxième dimension est la qualité de la langue de spécialité (on pourrait mentionner içi le français standard, en opposition avec les dialectes rencontrés en Québec, en Catalogne, etc).

Le dernier aspects distingue par Cabré est avant tout l'écrit, à partir de la prémise que la langue spécialisé est d'abord une langue écrite et que le matérial distinctif du texte spécialisé est la terminologie.

1.2.La langue de spécialité

Dans le sous-chapitre précédent on a montre que la terminologie peut être définie comme ˂˂l'étude scientifique des notions et des termes en usage dans les langues de spécialité˃˃.

En prennant en consideration cette d finition on peut dire qu'on a déjà deux termes clé:

  • Le mot terminologie
  • La syntagme langue de spécialité.

Ces deux termes se trouvent dans une rélation d'inclusion.

Du point de vue linquistique, une terminologie n'apparaȋt pas d'abord comme un ansamble des notions denomant dans une langue naturelle, des notions rélevant d'un domaine de connaissances fortement thématisé.

Les expressions en discussion peuvent connaȋtre trois réalités:

  • La réalité linquistique
  • La réalité extra-linquistique
  • La réalité mixte.

Celles-ci n'ont seulement la fonction de désigner sinon de dénominer aussi , c'est-à-dire d'appeler par son nom un objet ou une catégorie d'objet.

C'est d'une importance majeure ce caractère commun: le terme est un symbole, stimulus physique, représentant une notion ou un objet singulier.

La convention peut avoir des origines diverses: le plus souvent,elle est implicite, mais quand elle apparaȋt sous la forme d'une norme peut aussi être explicitée.

R.Martin considerait que ˂˂les définitions terminologiques sont toutes des définitions conventionnelles˃˃.(1992, p68)

Vue qu'une langue spécialisée utilise des dénominations spécialisées , on doit mentioner que la langue spécialisée signifie plus qu'une simple terminologie.

Dans son travail, ˂˂Les langues spécialisées˃˃, Pierre Lerat soutient que :

˂˂la notion de langue spécialisée est plus pragmatique: est une langue naturelle, considerée en tant que vecteur des connaissances spécialisés.˃˃

On doit mentioner aussi que les langues de spécialité comportenent certaines organisations: en biologie, par exemple s'impose la classification hiérarchique en classes,ordres, familles, genres, espèces, sous-espèces. Dans l'étude de la société il y a des phénomènes relevant de l'infrastructure et de la superstructure, chacune avec des sections bien connus.

Rendre compte de l'organisation sémantique globale des langues de spécialité signifie au fond mettre en évidence une connaissance encyclopédique de leurs domaines.

On doit aussi retenir le fait que la sémantique des langues de spécialité n'est pas une encyclopédie infinie. Elle ne retient que les principes d'organisation dans tel ou tel domaine. À l'heure actuelle,il n'est pas très facile de faire un tour d'horizon de ces principes, étant donné le fait que la théorie des sciences n'est pas parvenue à des conclusions définitives concernant l'ensemble des classifications. Il s'agit non seulement des difficultés de connaissance, mais aussi du fait qu'il y a évolution perpétuelle des directions de recherche, des perspectives, des épistèmes.

Mais ce qui domine notre époque c'est la tendence vers l'interdisciplinarité, à partir de laquelle on peut obtenir de nouveaux progrès dans l''étude des structures sémantiques fondamentales des langues de spécialité.

Si on fait une autre référence à la sémantique, on doit remarquer que dans les langues de spécialité la signification est généralement monosémique(signification unilatérale, absence de polysémie), monoréférentielle(renvoi à un objet strictement identifié), non ambigue, non affective, mais abstraite et général.

On remarque aussi que la sémantique des langues spécialisée est, comme la sémantique linguistique en général, l'interprétation des relations grammaticales, et elle prend donc appui sur la connaissance des mécanismes morphologiques, distributionnels, hiérarchiques et énonciatifs les plus généraux, mais en même temps, il lui faut aussi interpréter des rélations à fondement extrinsèque, parce que c'est de l'univers de connaissances particuliers que les langues spécialisées parlent.



En nous rapportant à la dimension traductionelle dans le cadre d'un langage spécialisé, il faut qu'on attire l'attention que la traduction pose des problèmes de communication, en partie cognitifs et culturels, mais aussi linguistiques.

Quant à la traduction technique, cela pose prémierement des problèmes termionologiques. Pour faciliter leur tache, les traductuers spécialisé s'orientent de plus en plus vers une ressouce digne d'être remarquée: les basses des données terminologiques. Les ˂˂banques des données terminologiques˃˃, comme ils sont appelées, rendent de grands services, mais leur consultation s'accompagne parfois assez rapide d'insatisfactions qui tiennent à leur conception, à leur finalité, à leur alimentation, à leur épuration et à leur mise à jour. Les banques de données ont une série des traits particulières:

o       l'unifunctionnalité – elles visent en priorité un public déterminé, ayant quelques restrictiones quant au grand public

o       elles sont conçues plutôt par les documentalistes que par les linguistes, donc elles conduisent plus à des fragments de texte et à leur références bibliographiques qu'à des précisions sémantiques et grammaticales

o       elles partent de formes non désambiguisées, et non des termes vers l'univocité, ce qui le donne un caractère sémasiologique

o       elles donnent une importance minimale aux différences de

conceptualisation en proposant rarement une définition par langue et ont une alimentation cumulative, qui suppose une certaine dispersion de l'information et des risques de redondance .

Un autre aspect qu'on doit mentioner est celui de la syntaxe de langues spécialisé qui est une syntaxe des mots, dans une large messure, du fait du figement relatif de séquences dénominatives usuelles.

Quant à la linguistique et ses taches en rapport avec les langues spécialisées(du point de vue assez général), on peut affirmer que c'est une source inepuisable d'analyse et d'ecriture de pour les terminologues et traducteurs. L'enjeu est majeur: il s'agit de rendre liguistiquement des pratiques professionnelles nécessaires et valorisées dans les pays développés. Une vue transversale de leur problèmes linguistiques, si elle réussit à mettre en lumière des intersections et des transpositions possibles d'approches, devrait rendre service, de manière relative, aux lecteurs engagés dans les activtié de traduction, de normalisation, de documentation, de rédaction technique, de lexicographie, d'inginerie de la connaissance, d'enseignement des langues ou de terminographie.

La langue spécialisée est d'abord une langue en situation professionel, donc est la langue elle-même qui a le rôle de transmettre des connaissances. La technicité dans la formulation est variable selon le besoin de la communication. Cela peut avoir comme conséquence limitée des langues aux-quelles n'est pas reconnu dans telles instance internationalle, le statut de ˂˂langue de travail˃˃.

Grace à sa capacité métalinquistique, la langue de spécialitée peut être l'instrument de sa propre formation fonctionement et évolution.

On pourrait conclure avec l'affirmation du R.Kokourek, conforme à laquelle :

˂˂La langue spécialitée est donc, dans ses textes , la trésor du savoir disponible et linguistiquement analysable et, dans ses réssources, l'instument du savoir futur ˃˃.




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