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L’école française s’interroge sur elle – même

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L’école française s’interroge sur

elle – même



Sommaire

Introduction _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ page 2

Formation _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ page 3

La scolarisation a beaucoup progressé au cours du XX-e siècle _ _ _ _ _ page 3

Les femmes font des etudes plus longues que les homes, mais leurs diplômes sont moins élevés _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _page 3

L’école doit faire face à de nouveaux defies _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ page 4

L’école doit faire face à de se rapprocher du monde reel _ _ _ _ _ _ _ _ page 4

Etudes _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _page 5

2.1 A 3 ans, tous les enfants sont scolarisés _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _page 5

A 11 ans, 80% des enfants sont entrés au college _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ page 5

Le rile de l’école et celui de la famille tendent à diminuer _ _ _ _ _ _ _ page 6

2.4 L’inévitable retour de la violence à l’école _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ page 7

Conclusion _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ page 8

Introduction

Plus de la moitié des Français de moins de 20 ans poursuivent aujourd’hui des etudes, alors que moins d’un june de 14 ans sur deux était scolarisé en 1946.

Les jeunes generations sont beaucoup plus diplômées que les anciennes. Alors que les trios quarts des personnes nées entre 1916 et 1925 avaient arête leurs etude au CEP, la proportion de bacheliers dépasse 50% depuis la classe 1969.

Lors du recensement de 1990, les homes de 15 ans et plus étaient encore un peu plus diplômés que les femmes: 55% avaient un niveau supérieur au certificate d’etudes, contre 48%; 23% avaient au moins le baccaalauréat, contre 21%. L’écart s’est comblé très rapidement au cours des années 90. Il est meme aujourd’hui inverse.

Cette evolution est révélatrice de la volonté (et, bien sûr, de la capacité) des femmes de faire des etudes afin de pouvoir mener une carriére professionnelle. Elle signifie qu’elle prendront à terme des etudes dans les enterprises et dans la société une place croissante, en rapport avec leur formation et leur ambition; cette dernière est d’ailleurs plus forte, à 15 ans, que chez leurs camarades masculins.

Les progress de la scolarisation ont rendu les inégalités d’instruction à la fois plus apparentes et moins supportables. Les Français s’inquiètent de la difficulté d’insertion des jeunes dans la vie professionnelle et sociale.

L’accroissement des moyens matériels ne suffira pas à l’école pour remplir les missions. Depuis 1974, le budget de l’Éducation nationale a augmenté en moyenne de 2,5% par an, plus vite que le PIB (2,2%).

Le role joué par le milieu familial demeure, lui, important. Il existe d’ailleurs un lien fort entre celui-ci et la réussite scolaire. L’idée que l’enfant se fait de la société depend advantage des situations vécues en famille et à l’extérieur que de la presentation formelle qu’en font ses professeurs à l’école. Les differences de vocabulaire, de connaissances ou d’ouverture d’esprit jouent en défaveur des enfants des milieux modesties.

Pourtant, le role du milieu familial apparait moins determinant qu’auparavant dans la transmission de la culture et d’un système de valeurs. Les enfants sont plus autonomes dans leurs modes de vie et les parents éprouvent des difficultés à leur expliquer le monde et à leur fournis des points de repère.

Formation

La scolarisation a beaucoup progressé au cours du XX-e siècle

Plus de la moitié des Français de moins de 20 ans poursuivent aujourd’hui des etudes, alors que moins d’un june de 14 ans sur deux était scolarisé en 1946. En un demi-siècle, la proportion de titulaires d’un CAP ou BEP a triple parmi les 25-34 ans et la part des bacheliers est passée de 4% à 62%. Lage moyen de fin d’études de la population active s’est accru de 8 ans au cours du XX-e siècle. La progression a été fortr, notamment dans les années 80 et jusqu’au milieu des années 90, avec un gain de deux ans de l’espérance de scolarisation pour un enfant entrant en maternelle: 19 ans contre 17 ans.

Les tests de raisonnement, de logique et d’intelligence passes par lesconscrits lors des  « trios jours » (avant leur suppression en 1996) faisaient également apparaitre une élévation du niveau general de 24% entre 1974 et 1995, avec acceleration à partir de 1981. Les disparités entre les élèves s’étaient en outré réduites.

Les jeunes generations sont beaucoup plus diplômées que les anciennes. Alors que les trios quarts des personnes nées entre 1916 et 1925 avaient arête leurs etude au CEP, la proportion de bacheliers dépasse 50% depuis la classe 1969. À partir du milieu des années 1980, l’accés d’une generation au niveau du baccalauréat a connu une hausse specaculaire, d’environ 30 points. En 2003, seuls 4% des 15-19 ans n’avaient aucun diplôme ou seulement le BEPC, contre 69% des 65 ans et plus et 41% des 50-64 ans. Les trios quarts des 25-34 ans détiennent aujourd’hui des diplômes secondaires ou supérieurs.

Les femmes font des etudes plus longues que les homes, mais leurs diplômes sont moins élevés

Lors du recensement de 1990, les homes de 15 ans et plus étaient encore un peu plus diplômés que les femmes: 55% avaient un niveau supérieur au certificate d’etudes, contre 48%; 23% avaient au moins le baccaalauréat, contre 21%. L’écart s’est comblé très rapidement au cours des années 90. Il est meme aujourd’hui inverse. La durée moyenne de scolarisation des filles en 2003 est de 19,1 ans, contre 18,6 ans pour les garçons.

L’écart est également apparent dans les resultants. Dès le CE2, ceux des filles sont supérieures de 7 points à ceux des garcons dans les evaluations de franc homes. Le seul pays qui fait exception est l’Autriche, avec des proportions respectives de 63,3%.

Cette evolution est révélatrice de la volonté (et, bien sûr, de la capacité) des femmes de faire des etudes afin de pouvoir mener une carriére professionnelle. Elle signifie qu’elle prendront à terme des etudes dans les enterprises et dans la société une place croissante, en rapport avec leur formation et leur ambition; cette dernière est d’ailleurs plus forte, à 15 ans, que chez leurs camarades masculins. Cependant, les filles restent plus nombreuses dans les filières de formation littéraires et tertiaires, moins recherchées et valorisantes sur le plain proffessionnel que les filières et industrielles choises par les garcons. Parmi les jeunes sortis de formation initiale en 1988, elles représentaient 55% des diplômés des premier et deuxième cycles, mais seulement 43% des diplômés de troisième cycle ou de grandes écoles.

scolarité reste l’occasion privilégiée pour les enfants d’acquérir les connaissances de base don’t ils auront besoin au cours de leur vie. Pourtant, le role joué par l’ecole en matière culturelle est moins apparent aujourd’hui.

La proportion n;était que de 46% en 1960. Les filles ont moins de retard scolaire et sont un peu plus jeunes que les garcons: seules 17% ont plus de 10 ans, contre 22% des garcons. Les enfants de cadres et de members des proffesions intermediaries effectuent leur scolarité en cinq ans; les enfants d’ouvriers mettent en moyenne 0,3 année supplémentaire. Des classes spéciales ont été crées pour accueillir des enfants ayant des difficultés dans l’enseignement élémentaire (adaption), des élèves de nationalité étrangère non francophone (initiation) ou ayant handicap physique, sensorial ou mental mais pouvant s’intégrer au milieu scolaire ordinaire (integration. Ces trios types de classes comptent au total 76 000 élèves dans la primaire.

L’école doit faire face à de nouveaux defies

Les progress de la scolarisation ont rendu les inégalités d’instruction à la fois plus apparentes et moins supportables. Les Français s’inquiètent de la difficulté d’insertion des jeunes dans la vie professionnelle et sociale. Élèves et parents se considèrent de plus en plus comme des « consommateurs » de services scolaires (comme ils le sont des services de santé ) meme si c’est l’ensemble de la communauté qui en paie le prix. Les difficultés des professeurs ne peuvent pas être ignores. Il faut avoir une solide motivation (de preference une vocation) pour enseigner à ceux qui n’ont pas d’apprendre. Surtout lorsque le manqué de respect de la part des élèves se double de celui des parents.

Après avoir été un lieu de relation et de liberation, l’école a subi les soubresauts de mai 68 et leurs effects sut les mentalités. Elle est aujourd’hui confrontée à de nombreaux defies. Celui de la violence, qui s’exerce aussi bien envers les élèves que les maitres. Celui de l’absentéisme: 82 000 élèves, soit 2,5% des effectifs, ont été « signals » en 2002 à l’inspection academique pour absences répétées; 58 000 avertissements ont éte envoyés aux familles et 2 900 suspensions d’allocations familiales décidées par la Caisse d’allocations familiales (2 400 en 2001)

Le principal défi est celui de l’intégration. Le débat sur le voile islamique a mis en relief les difficultés de l’ecole à preserver le modèle républicain et laic donc elle est peut-être le dernier rampart. Mais l’intégraation concerne bien d’autres « minorities ». Celle des enfants de milieux défavorisés, donc l’échec scolaire est le prelude d’autres échecs tout au long de la vie (voir encadrè). Celle aussi des enfants handicaps: 76 000 sont accueillis en primaire dans des classes spéciales, 20 000 dans le secondaire; mais 40 000 sont exclus du système scolaire, faute d’enseignants specialises et de lieux adaptés.

L’école doit faire face à de se rapprocher du monde reel

L’accroissement des moyens matériels ne suffira pas à l’école pour remplir les missions. Depuis 1974, le budget de l’Éducation nationale a augmenté en moyenne de 2,5% par an, plus vite que le PIB (2,2%). Le nombre des enseignatants a progressé (notamment dans le second degree), tandis que le nombre des élèves diminuait, de sorte que le nombre l’élèves par enseignant a connu une baisse significative. Le raisonnement ne vaut pas cependant pour les universities, où les conditions matérielles sont souvent déplorables et les effectifs en augmentation sensible sur la dernière décennie. Si les dépenses par élève des premier et second degrees ont pratiquement double en monnaie constate, celle par étudiant du supérieur n;a augmenté que de 29% la forte hausse des effectifs jusqu’en 1996 ayant absorbé le plus grande part des credits consacrés à l’enseignement supérieur.

C’est sans doute bien d’avantage à la racine du « mal scolaire » qu’il faudra s’attaquer, en revalorisant le role de l’École dans la société et dans les familles. Des efforts ont été entrepris pour restaurer la notion de respect dans l’enceinte des établissements. Il faudra du temps, de la comprehension, de la pédagogie et de l’autorité pour que leurs effets se faissent sentir. La volonté de dialoguer et de reformer est une autre condition à remplir, de la part des diverses parties prenantes. Car l’école, pas plus que les autresinstitutions ou les individus, ne peut demeurer un pole immobile dans une monde en mouvent.

Pour assurer la sécurité dans ses murs, réduire encore les inégalités, donner confiance aux élèves en euxmêmes et en l’avenir, l’école devra être advantage en phase avec le monde extérieur et remettre en question ses taboous. Elle devra utiliser les outils de la « modernité » (ordinateur, multimedia, internet…) et reconciler des notions jusqu’ici considérées comme contradictories: le colectif et l’individuel; l’intérieur et l’extérieur; l’écrit et l’écrain; la théorie et la pratique; le sérieux et le ludique.

Etudes

A 3 ans, tous les enfants sont scolarisés

Le système éducatif français se distinguee par un tauxde scolarisation élevé avant l’age de 6 ans, qui correspond à l’entrée obligatoire au cours préparatoire. En maternelle, laccueil des enfants de 5 ans, 4 ans, puis de 3 ans s’est progressivement generalise à partir du milieu des années 60, jousqu’à à la fin des années 80. L’accueil des enfants de 2 ans depend souvent des places disponibles et de l’évolution démographique. Le taux de scolarisation à cet age fluctue depuis vingt ans entre 31 et 36% selon les villes et les quartiers. Entre 1960 et 1999, la proportion d’enfants de 2 à 5 ans scolarisés est passée de 50% à 85%, sans distinction d’origine sociale. Elle s’est copendant stabilisée à partir de 1990. 36% des enfants de moins de 3 ans vont aujourd’hui à l’école, contre 10% en 1965.

L’evolutions démographiques et l’amélioration de l’encadrement ont permis une forte reduction de la taille des classes, tant dans l’enseignement public que privé. En maternelle, elle est passée de 40 élèves en moyenne en 1960 à 26 élèves en 2003. Dans le primaire, le phénomène est moins pronounce. Les effectifs diminuent depuis 1970, en raison de la baisse de la démographie et des retards scolaires. A partir de 2003, les effectifs scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires ont augmenté de 37 000 élèves, du fait de la progression des naissances constatée depuis l’an 2000. Le maintien du nombre de classes jusqu’en 1983 puis leur baisse plus lente que celle des effectifs ont permis une reduction régulière de leur taille moyenne, qui tend à se stabiliser autour de 23 élèves dans le public et de 24 dans le privé.

A 11 ans, 80% des enfants sont entrés au college

La proportion n;était que de 46% en 1960. Les filles ont moins de retard scolaire et sont un peu plus jeunes que les garcons: seules 17% ont plus de 10 ans, contre 22% des garcons. Les enfants de cadres et de members des proffesions intermediaries effectuent leur scolarité en cinq ans; les enfants d’ouvriers mettent en moyenne 0,3 année supplémentaire. Des classes spéciales ont été crées pour accueillir des enfants ayant des difficultés dans l’enseignement élémentaire (adaption), des élèves de nationalité étrangère non francophone (initiation) ou ayant handicap physique, sensorial ou mental mais pouvant s’intégrer au milieu scolaire ordinaire (integration. Ces trios types de classes comptent au total 76 000 élèves dans la primaire.

Entre 1995 et 2002, le second degree a perdu plus de 140 000 élèves et apprentis, après en avoir gagné 100 000 au début des années 90. Ce renversement de tendance ne s’explique pas par l’evolution démographique, plutôt favourable jusqu’en 1998. Il est dû à l’arrêt du phénomène d’allongement des etudes. En six ans, les taux de scolarisation à 18,19 et 20 ans ont diminué respectivement de 6, 7 et 5 points, entrainant une baisse de la durée d’études.

97% des jeunes d’une classe d’age parviennt en classes de fin de premier cycle, contre 94% en 1995-1996 et 70% dix ans plut tôt. La taux de redoublement a aussi fortement baissé (140 000 de moins entre 1996 et 200), ce qui explique la reduction du temps passé dans l’enseignement secondaire. La part de l’enseignement privé se maintient aux alentours de 24% pour l’ensemble du second degree, depuis le début des années 70 ( 18% seulement dans les departments d’outre-mer). Les taux de redoublement y soit inférieurs, mais ceux du public ont diminué plus vite et tendent à s’en rapprocher.

Le rôle de l’école et celui de la famille tendent à diminuer

La scolarité reste l’occasion privilégiée pour les enfants d’acquérir les connaissances de base don’t ils auront besoin au cours de leur vie. Pourtant, le role joué par l’ecole en matière culturelle est moins apparent aujourd’hui. Les enfants sont moins dependants et « naïfs » à l’égard d’enseignements don’t le statut dans la société a change. L’école n’est plus aujourd’hui le creuset du « modèle républicain . qu’elle a longtemps été. Les débats sur le port du voile, la violence au sein des établissements ou la pauperisation des universities témoignent de la moindre influence de l’école sur les esprits. Il en est de meme de l’ensemble des institutions. L’Église, qui contribuait traditionnellement à l’éducation, notamment morale, a aussi perdu de son influence sur les Français.

Le role joué par le milieu familial demeure, lui, important. Il existe d’ailleurs un lien fort entre celui-ci et la réussite scolaire. L’idée que l’enfant se fait de la société depend advantage des situations vécues en famille et à l’extérieur que de la presentation formelle qu’en font ses professeurs à l’école. Les differences de vocabulaire, de connaissances ou d’ouverture d’esprit jouent en défaveur des enfants des milieux modesties. A 7 ans, un enfant de cadre ou d’enseignant dispose d’un vocabulaire deux à trios fois plus riche qu’en enfant d’ouvrier. Enfin, si l’on accepte l’idée que l’hérédité joue un role important dans le caractère d’un enfant, il est evident que la famille est un facteur clé dans la creation et le renforcement des inégalités culturelles.

Pourtant, le role du milieu familial apparait moins determinant qu’auparavant dans la transmission de la culture et d’un système de valeurs. Les enfants sont plus autonomes dans leurs modes de vie et les parents éprouvent des difficultés à leur expliquer le monde et à leur fournis des points de repère.

L’inévitable retour de la violence à l’école

Evoquer la violence en milieu scolaire, c’est tirer un fil qui fait venire toute la pelote: on sait d’avance que la logique imposerait d’aborder aussi l’échec scolaire, ses modes de traitement, la question des sanctions et celle de l’exercice de l’autorité, les relations avec les familles, la mixté sociale au sein des établissements mais aussi les conditions extérieures, la situation des quartiers défavorisés, etc. Isoler la violence en tant que phénomène en soi, comme dépourvu de toute cause, est un tour de passé-passe indéfendable.

A l’inverse, récuser les faites sous prétexte de vouloir s’attacher à leurs seules causes profondes, qu’elles soient sociologiques ou pédagogiques, ou les deux à la fois, meme à une autre sorte de déni, tout aussi exaspérant.

Nouvel arrivant à l’éducation, François Filon sera, comme ses prédécesseurs, tenu de naviger entre ces deux écueils. Mais le juste milieu, en domaine, reste suffisamment vaste pour laisser la place à des inflexions politiques. Le nouveau ministre vient d’en apporter la prevue en consacrant signature d’une convention entre le parquet de Paris, le rectorat et la protection judiciaire de la jeunesse, dans la but d’accélérer le traitement des infractions. Rien de bien révolutionnaire: la logique de parteneriat entre institutions est un classique de l’action antiviolence. Mais c’est aussi une façon de replacer, à travers une mesure concrete et irreproachable, la violence scolaire comme thème d’actualité. S’agit-il d’une remise des compteurs à zero? Qu’elle soit ou non considéré sous le seul angle scolaire, la violence est toujours une thématique qui interfere fortement avec des logiques politiques. Elle renvoie d’un côté à des discourse, jamais innocents, et de l’autre à des fais à la fois résistants aux discourse et influencés par eux, dans la mesure où ces faits ne trouvent leur qualification qu’à travers les mots employés pour les decrier. Un pouvoir qui prétend faire reculer la violence sera ainsi fortement tenté, dans un premier temps, de noircir le tableau et dans un second temps de l’éclaircir afin d’afficher des resultants. Quitte à recourir par la suite à un regain de dramatisation sic elle-ci apparait comme une bonne carte à jouer.

Conclusion

Je suis très touchée cette situation. La jeunesse est contemporainement agressive, elle a trop grand aplomb. Une adolesiente ne pouvait pas se défendre. Je pense qu'elle avait peur de dire ses parents à cet incident. C'est affreur!!! Je voudrais savoir si ces garçons ont sentir les remords   Il faut les conscientiser que les gens ne sont pas des jouets! Ils ont agressé à l'innocente fille. Est-ce que c'est normal?! Quelle punition il foudrait leur donner pour les conscientiser ce qu'ils ont fait? C'est difficile Cet amusement s'est transformée au cauchmar. Les situations comme ça, ont lieu dans le monde entier. Mais comment pourrions-nous arrêter la violence aux écoles? Il faut que les professeurs et les parents parlent avec nous à la valeur d'homme, à la violence, nous apprennent comment traiter autres gens. Ils doivent nous dire qu'il faut aider nos copains, pas les persécuter. Peut-être, il vaudrait organiser des cours et parler avec jeunesse aux problèmes de ce monde, apprendre comment y prévenir

Bibliographie

Mermet, Sérard, Francoscophie 2001, 2003, 2005

https://www.ecolefr-siemreap.org/extrascolaireEng.htm

https://ecole.org/seminaires/FS1/VA_132/VA050402-ENG.pdf

https://www.enfant.fr

https://www.adolescents.fr

https://www.violence.fr

Le Monde de l’education ( juin 2005 )



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